Dans un monde en pleine digitalisation, où la data est le vecteur principal de croissance, le besoin de construire plus vite des applications pour la gérer en plus grande volumétrie et en temps réel nécessite de nouvelles façons de les concevoir.
D’un côté, de nouveaux outils pour gérer et stocker la data sont disponibles régulièrement, chacun amenant son amélioration par rapport aux autres. De l’autre, le low-code et le no-code tentent d’apporter une réponse dans le bon sens à la demande croissante de nouvelles applications. Cependant les implémentations sont encore timides et non optimales.
Sans réel recul historique, définir quels choix doit faire une organisation pour garder toujours un maximum d’options ouvertes peut être compliqué.